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« On ne m’appelle Mr. Sunshine pour rien.
Je peux être chaleureux et accommodant,
mais si vous essayez de compromettre
mon commerce, je vous brûlerez les ailes. »

 

Vincenzo Guzzo, aussi appelé Mr. Sunshine (« Monsieur rayon de soleil » en français), est un géant de l’industrie du cinéma habitant Montréal. Ce magnat des affaires, qui est actuellement en tournage pour sa quatrième saison en tant que Dragon sur l’émission Dragons’ Den de la CBC, est reconnu comme étant quelqu’un de très franc. C’est d’ailleurs en grande partie cette franchise qui a rendu l’émission un incontournable chez beaucoup de téléspectateurs qui regardent surtout la série pour apercevoir le style direct ainsi que l’approche claire et réfléchie sans aucune retenue de M. Guzzo, des qualités pour lesquelles il s'est mérité le titre du Dragon le plus populaire. Par ailleurs, ce dernier est aussi le président-directeur général de Cinémas Guzzo, qui s’avère être la plus grande chaîne de cinémas au Québec. L’entrepreneur ambitieux et ingénieux a joué un rôle intégral dans l’expansion de Cinémas Guzzo ainsi que dans celle de plusieurs autres entreprises fructueuses, telles que Groupe Guzzo Construction, Notte in Bianco, Guzzo Nano Research, Mr. Sunshine Corporation, Cinémas Guzzo Les films et Cinémas Guzzo Streaming, en plus de la création de prospères partenariats avec Ruddy Lad Co., Giulietta Pizzeria, Love Food to Go et Otopromo.

 
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« Une des erreurs les plus courantes que commettent les entrepreneurs est de ne pas incorporer un récit au sein de leur entreprise, alors que les consommateurs souhaitent vraiment connaître la personne dernière le commerce. »

Vincenzo Guzzo, « Mr. Sunshine »

 

Là où tout a commencé…

« L’odeur du maïs soufflé et du beurre tout chaud, le son d’une bobine de film qui tourne en rond dans la cabine de projection, les sourires aux lèvres des clients comblés… C’est tout cela qui a stimulé mon amour pour l’industrie du cinéma », raconte Mr. Sunshine. « Très jeune, j’ai travaillé dans le premier cinéma de mon père, où je ramassais des grains de maïs sous les chaises, etc. Même à l’époque, je savais que ce domaine était ma destinée. Puis, au cours de mes décennies dans cette industrie, je n’ai aucunement changé d’avis à cet égard. »


 

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